Dans un article publié en 2012 dans The New England Journal of Medicine, une équipe de chercheurs dirigée par des docteurs de Harvard a présenté les résultats d’une vaste étude, menée dans 47 pays, sur l’utilisation des antidépresseurs dans la prise en charge des troubles obsessionnels compulsifs.
Dès 2008, ils avaient publié une première recherche sur une prise en charge médicamenteuse dans le cas de cette maladie.
Après avoir fait des observations dans les hôpitaux des Etats-Unis, l’équipe a voulu voir si la prise en charge médicamenteuse de ces troubles pouvait être aussi efficace que la prise en charge chirurgicale de la chirurgie bariatrique.
Une étude pilote de 2011 en Californie
Les chercheurs de Harvard ont fait une étude pilote sur la prise en charge médicamenteuse des troubles obsessionnels compulsifs en Californie en 2011. Il s’agissait de patients souffrant de cette maladie qui ont eu un traitement de 40 semaines par les antidépresseurs : le bupropion (Zyban) et le bupropion plus lithium (Seroxat) en association à la fluoxétine (Prozac) ou à la paroxétine (Déroxat).
Plus de 32 % des patients souffrant de TOC étaient sous traitement médicamenteux. Les chercheurs ont évalué l’efficacité des médicaments dans ce cas précis, ainsi que la prise en charge de la maladie et la qualité de vie des patients.
Une prise en charge efficace
Les résultats de cette étude pilote ont été positifs : l’efficacité de la prise en charge médicamenteuse des troubles obsessionnels compulsifs est meilleure que celle de la prise en charge chirurgicale.
- La prise en charge médicamenteuse a réduit de 26,9 % le nombre de patients déprimés qui ont consulté les urgences hospitalières.
- La prise en charge médicamenteuse a réduit le nombre de patients qui ont consulté le médecin généraliste.
- Le traitement médicamenteux a réduit de 38 % le nombre de patients qui se sont rendus à l’hôpital pour une évaluation médicale.
- L’utilisation du traitement par lithium a réduit de 37 % le nombre de patients qui ont consulté le médecin généraliste.
- Le traitement médicamenteux a réduit de 24,4 % le nombre de patients qui se sont présentés à l’hôpital pour une évaluation médicale.
- Les patients souffrant de troubles obsessionnels compulsifs ont également réduit le nombre de visites à l’hôpital pour une évaluation médicale.
- Les traitements médicamenteux ont réduit le nombre de patients qui ont consulté une autre spécialité médicale et le nombre de visites à l’hôpital pour une évaluation médicale en général.
La prise en charge médicamenteuse ne peut remplacer la prise en charge chirurgicale
Pour aller plus loin dans ce travail, les chercheurs de Harvard ont réalisé une étude dans 39 pays et ont évalué la prise en charge médicamenteuse des troubles obsessionnels compulsifs.
La prise en charge médicamenteuse ne peut pas remplacer la prise en charge chirurgicale
Les chercheurs de Harvard ont évalué l’efficacité de la prise en charge médicamenteuse des troubles obsessionnels compulsifs.
Avant toute prise en charge, les patients souffrant de TOC sont dépistés à travers un test de QI (test d’intelligence) et un test de personnalité. Les patients sont ensuite adressés vers un spécialiste et un psychiatre qui les évaluent.
Pendant l’étude, 89 % des patients avaient reçu des antidépresseurs et 52 % avaient eu recours à un traitement médicamenteux. Les chercheurs ont évalué l’efficacité de cette prise en charge médicamenteuse en évaluant le nombre de patients qui avaient été adressés à un spécialiste et 52 % des patients ont reçu une aide psychologique.
- Au terme de l’étude, 54 % des patients souffrant de troubles obsessionnels compulsifs ont reçu un traitement médicamenteux.
- 85 % des patients qui ont reçu des antidépresseurs ont eu recours à un traitement médicamenteux.
- 82 % des patients qui ont eu recours à un traitement médicamenteux ont été traités par un psychiatre.
- Les chercheurs ont évalué la prise en charge médicamenteuse comme étant meilleure que celle du traitement chirurgical.
- 87 % des patients qui avaient reçu des antidépresseurs et 52 % des patients qui avaient eu recours à un traitement médicamenteux ont bénéficié de l’aide psychologique.
Avant cette étude pilote, la prise en charge de la prise en charge des troubles obsessionnels compulsifs était uniquement médicale ou chirurgicale.
Le traitement médicamenteux n’est pas toujours le meilleur
Il y a plusieurs facteurs qui influent sur l’efficacité de la prise en charge médicamenteuse.
D’abord, le diagnostic. Les patients sont plus ou moins résistants au traitement. Dans ce cas-là, les chercheurs ont pu observer que les patients plus résistants aux antidépresseurs prenaient moins de médicaments et que les patients plus résistants au traitement chirurgical prenaient moins de médicaments.
Ensuite, les patients sont plus ou moins résistants aux effets secondaires des médicaments.
Enfin, les patients ont une meilleure tolérance que les patients qui prennent des antidépresseurs à long terme. Ce qui les rend plus résistants.
Donc, les patients plus résistants aux effets secondaires des antidépresseurs sont aussi plus résistants au traitement médicamenteux.
S’il n’y a pas de médicaments pour traiter les troubles obsessionnels compulsifs, alors la prise en charge est chirurgicale.
Les effets secondaires des antidépresseurs
Les antidépresseurs font partie de la classe des médicaments appelés « inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine » (ISRS). Ils agissent sur la recapture de sérotonine qui est une substance présente dans le cerveau. Cela permet donc de bloquer la transmission de l’influx nerveux entre les neurones du cerveau.
En se fixant sur la sérotonine, les médicaments affectent la capacité de penser et de ressentir et réduisent les symptômes du TOC.
Des effets secondaires peuvent être observés lors de l’utilisation des ISRS. Parmi eux, on peut citer des maux de tête, des insomnies, des palpitations cardiaques, des diarrhées et des pertes de mémoire.
Sans médicaments
Les médicaments ne peuvent pas guérir les troubles obsessionnels compulsifs. Les antidépresseurs sont une forme de thérapie médicamenteuse. Les médicaments agissent sur la recapture de la sérotonine pour contrôler les symptômes du TOC.
Prise en charge médicamenteuse pour traiter les obsessions
Les antidépresseurs ne sont pas la seule solution pour traiter les obsessions.
Prise en charge médicamenteuse pour traiter les compulsions
Les chercheurs ont étudié la prise en charge des troubles obsessionnels compulsifs dans différents pays.
Aux États-Unis, le traitement des compulsions est pris en charge avec des médicaments antidépresseurs. La prise en charge des obsessions compulsives est prise en charge avec des médicaments antidépresseurs.
Dans les pays d’Europe de l’Est, le traitement des obsessions compulsives est pris en charge avec des médicaments antidépresseurs ou avec des médicaments antipsychotiques.
Prise en charge médicamenteuse pour traiter les obsessions compulsives
Le traitement des compulsions est pris en charge avec des médicaments antidépresseurs ou des médicaments antipsychotiques.
Réduire le nombre de visites à l’hôpital
La prise en charge médicamenteuse des troubles obsessionnels compulsifs est prise en charge avec des médicaments antidépresseurs.
Les médicaments contre les compulsions sont pris en charge avec des médicaments antipsychotiques.
La prise en charge médicamenteuse est prise en charge avec des médicaments antidépresseurs.
Le traitement des obsessions compulsives est pris en charge avec des médicaments antidépresseurs.
La prise en charge médicamenteuse des obsessions est prise en charge avec des médicaments antidépresseurs.
Qu'est-ce que le Zyban ? Zyban est un médicament qui vous aidera à arrêter de fumer. Vous trouverez ici les informations de base, y compris la posologie, les effets secondaires et les précautions pour le Zyban.
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Comment Zyban agit-il ?
Le Zyban agit en stimulant le système immunitaire pour que vous puissiez arrêter de fumer. Le Zyban agit sur le cerveau pour arrêter de fumer.
Cela implique que le médicament commence à faire effet au bout de quelques jours après l’ingestion. Le médicament agit en bloquant une enzyme appelée acétylcholinestérase, qui est une substance qui se trouve naturellement dans le corps. La substance est produite en grande quantité lorsque vous avez consommé du tabac. La substance est nécessaire pour que le corps fonctionne normalement.
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Quelle est la dose normale de Zyban ?
La dose recommandée de Zyban est de 150 mg pris avant de manger. Il est préférable de ne pas prendre plus de 100 mg en une seule fois. La dose recommandée de Zyban est de 150 mg avant de manger.
Quelles sont les interactions médicamenteuses potentielles ?
Les interactions médicamenteuses peuvent se produire à la fois avec le Zyban et avec d’autres médicaments prescrits par votre médecin. Ces interactions médicamenteuses peuvent inclure :
- les anticoagulants
- les analgésiques opioïdes
- les antibiotiques
- les antidépresseurs
- les antiépileptiques
- les antidiabétiques
- les antipsychotiques
- les contraceptifs oraux
- les médicaments contre l’hypertension
Le Zyban et d’autres médicaments peuvent interagir avec la théophylline ou d’autres médicaments utilisés pour traiter l’asthme. Ces médicaments peuvent interagir avec les médicaments antiépileptiques. Ces médicaments peuvent interagir avec les médicaments antidiabétiques. Ces médicaments peuvent interagir avec d’autres médicaments, tels que les anticoagulants, les analgésiques opioïdes ou les antidépresseurs.
Le Zyban peut interagir avec la théophylline, un médicament utilisé pour traiter l’asthme et les voies respiratoires. Le Zyban peut interagir avec d’autres médicaments, tels que les anticoagulants ou les médicaments pour le diabète.
Le Zyban peut interagir avec d’autres médicaments, tels que les contraceptifs oraux ou les anticoagulants. Ces interactions sont généralement faibles et n’ont pas d’effet significatif sur l’efficacité du médicament.
Le Zyban peut interagir avec d’autres médicaments ou traitements, tels que les contraceptifs oraux ou les anticoagulants.
Le Zyban peut interagir avec les autres médicaments ou traitements, tels que les anticoagulants, les antiépileptiques ou les anticorps contre la protéine de surface du virus de l’hépatite B.
Les effets secondaires du Zyban
Les effets secondaires du Zyban sont très rares et peuvent inclure des maux de tête, des étourdissements, des nausées, une fatigue, des douleurs musculaires, une diarrhée et des réactions allergiques. Il est important de signaler tout effet secondaire que vous remarquez au médecin, car ils peuvent être graves.
Comment utiliser Zyban : Prise quotidienne
Le Zyban est généralement pris une fois par jour avant le repas. Il est préférable de prendre le médicament avec de la nourriture, car il peut avoir un effet sur le taux de digestion. Il est important de ne pas prendre le Zyban plus de 10 jours sans avis médical, car cela peut entraîner une accoutumance du corps.
Il est préférable de ne pas prendre le Zyban plus de 10 jours sans avis médical, car cela peut entraîner une accoutumance du corps. Le Zyban peut être pris par voie orale ou par injection. Le Zyban peut être administré par voie orale ou par injection.
Les effets secondaires possibles du Zyban
Les effets secondaires potentiels du Zyban comprennent :
- l’hypersensibilité
- le syndrome de sevrage
- les symptômes du sevrage du sevrage
- les maux de tête
- les douleurs musculaires
- les nausées
- la somnolence
Le Zyban est généralement pris pendant 14 jours. Vous devez le prendre pendant 14 jours avant de le remplacer. Les effets secondaires peuvent durer jusqu’à 2 semaines.
Les effets secondaires du Zyban peuvent être les suivants :
- douleurs musculaires
- maux de tête
- nausées
- vomissements
- étourdissements
- irritabilité
- réaction allergique
- démangeaisons
- congestion nasale
- inconfort digestif
- sensibilité aux yeux
- douleurs abdominales
- gonflement
Le Zyban est-il sûr à utiliser ?
Le Zyban est sûr à utiliser. Le Zyban ne provoque pas d’effets secondaires graves et ne présente aucun risque accru.
